
Tel un réel météore traversant notre stratosphère, le 5e film de François Delisle n’est pas passé inaperçu. À toute vitesse, cet amas de fragments cinématographiques a illuminé les yeux de ceux et celles qui l’ont croisés sur grand écran (prix Luc Perrault/LA PRESSE 2013 du meilleur film québécois selon les critiques de l’AQCC) et remplis leurs oreilles d’une bande son riche et créative. Une œuvre dense et poétique qui tient ensemble grâce à un noyau central fort, utilisant le grand écran comme une toile vierge d’où émane beaucoup plus qu’une simple lumière.
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