La place de la peinture au cinéma

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Avec la sortie prochaine du film GAUGUIN d’Édouard Deluc, j’ai eu le bonheur de fouiller les archives du cinéma à la recherche de films traitant de la vie de grands peintres. Mais aussi des œuvres cinématographiques qui utilisent la peinture comme matière première. Tout ça pour concocter une chronique touffue à l’émission ON DIRA CE QU’ON VOUDRA animée par Rebecca Makonnen sur les ondes de Ici Première à Radio-Canada.

Voici le lien pour entendre les nombreux longs et courts métrages que m’ont inspiré ce sujet. Bonne écoute!

Pollock-Film

Godard, de mai 68 à mai 2018

Le livre d'image

Image tirée du nouveau Jean-Luc Godard, LE LIVRE D’IMAGE

Le Festival de Cannes qui s’ouvre cette semaine, 50 ans après les tumultes de l’édition de mai 68, annonce le retour de l’imprévisible Jean-Luc Godard. J’ai eu la chance de pouvoir fabuler de sa présence sur la Croisette lundi le 7 mai 2018 à l’émission ON DIRA CE QU’ON VOUDRA sur les ondes d’Ici Première de Radio-Canada, animée par Karine Lefebvre.

Voici le lien pour écouter la comparaison de deux époques bien différentes.

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Arnaud Desplechin, jazzman du cinéma français

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Rassembler le cinéma d’Arnaud Desplechin, c’est mettre côte à côte des œuvres singulières qui se répondent, chacune donnant le goût de découvrir les autres pour bien saisir l’harmonie de ce magnifique chaos qu’est la vie. Comme un musicien de jazz excellant dans les ruptures de ton et dans les canevas qui peuvent sembler désordonnés, Desplechin ne laisse pourtant que très peu de place à l’improvisation. Dans ses films d’une grande densité dramatique mais non dénué d’ironie, la fiction y est intarissable, ses personnages étant habités par multiples récits qui s’emmêlent les uns aux autres. Et si au final une certaine forme d’équilibre est atteinte, c’est grâce à la virtuosité de Desplechin qui sait poser son regard sur ce qu’il fait, étant le premier spectateur de ses créations.

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